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Hiway soutient Amélie en vue du championnat du monde de triathlon

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Hiway soutient Amélie en vue du championnat du monde de triathlon

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En 2019, Amélie a choisi de tourner le dos à des années de galère en se lançant en freelance avec l’aide de Hiway. Cette décision a été une révolution personnelle qui lui a permis de consacrer du temps à son amour de toujours, le sport. Elle s’est alors prise d’une passion pour le triathlon qu’elle compte désormais concrétiser en participant aux courses de référence : Ironman. Qu’est-ce que ce projet représente pour elle ? Comment s’articule-t-il avec sa vie de freelance ? Elle nous raconte.

Hello Amélie ! Peux-tu te présenter en quelques mots ?

Hello Hiway ! Je suis ingénieure informaticienne depuis 5 ans et je travaille en freelance depuis 3 ans. Je suis fan de sport depuis toujours, et mon autre grande passion, c’est la cuisine !

Comment as-tu découvert le triathlon ?

En 2019, j’ai participé au semi-marathon de Paris sans préparation intense, et mon chrono a été une bonne surprise. Au même moment, j’ai repris la natation, que j’avais pratiquée quand j’étais enfant. Un collègue a alors eu l’excellente idée de me suggérer le triathlon.

J’ai commencé à regarder les vidéos d’Ironman et elles m’ont convaincue de me lancer. Finalement, plus que le sport en lui-même, c’est le fait de dépasser ses limites et les émotions fortes qui m’ont séduite !

Mais au fait, c’est quoi, Ironman ?

Ironman, c’est un label de triathlons longue distance. Pour les candidats, le circuit commence avec plusieurs courses qualificatives. Les plus chanceux participent ensuite au championnat du monde, qui a traditionnellement lieu à Hawaï. Au menu de chaque triathlon,** 226 kilomètres** en tout : 3,8 kilomètres de natation, 180,2 kilomètres de cyclisme et pour finir, un marathon.

Il y a aussi tout un mythe autour d’Ironman et de son histoire, qui est intimement liée à Hawaï. C’est là-bas qu’a été inventé le triathlon dans sa forme actuelle, dans les années 1970. L’idée était de déterminer qui, du nageur, du coureur ou du cycliste, était le plus endurant. Le premier Ironman a eu lieu à Honolulu en 1978 et il s’est ensuite tenu pendant des décennies à Hawaï. Mais c’est en train de changer, car le championnat a grandi et l’île n’est plus en capacité d’accueillir tant de monde.

Pour ma part, je prévois de participer à un Ironman en septembre 2023. L’objectif est de me qualifier pour le championnat du monde d’octobre 2024. On ne sait pas encore avec certitude où il se tiendra, mais j’espère bien avoir la chance de concourir à Hawaï !

Comment te prépares-tu pour ce challenge ?

Jusqu’à présent, je m’entraîne à la fois en club et avec un coach personnel. Dès janvier, je me lancerai dans une phase de préparation très intense, avec 15 à 20 heures d’entraînement par semaine.

Concrètement, mon coach me propose un plan hebdomadaire pour travailler différents points clés. Généralement, on enchaîne 3 semaines de montée en charge et une semaine de récupération. D’une semaine à l’autre, mon planning d’entraînement est globalement structuré de la même manière. Cela facilite grandement l’organisation de ma vie pro et perso.

L’autre aspect de la préparation, c’est le financement et la mise en avant du projet. Courses, entraînements, matériel, déplacements : tout ça a un coût important. Pour le financer, la contribution de sponsors comme Hiway est précieuse. Et par ailleurs, je mobilise une communauté autour de mon projet et de ses avancées grâce à Instagram.

Une chose est sûre, en tout cas : je n’aurais jamais eu le temps de faire tout ça en restant salariée !

Justement, peux-tu nous en dire un peu plus sur ton parcours et ce qui t’a poussée à te lancer en freelance ?

J’ai étudié dans une école d’ingénieurs à Paris de 2012 à 2017. Pour financer ma scolarité mais aussi le loyer et les frais du quotidien, j’ai eu recours à un prêt étudiant conséquent. J’ai en parallèle multiplié les jobs étudiants.

A la sortie de l’école, j’ai été embauchée en tant qu’ingénieure informaticienne. Mais avec le remboursement du prêt, mon salaire s’est rapidement révélé ric-rac. Et lorsque j’ai hérité de manière imprévue d’une dette familiale, il est devenu carrément insuffisant. J’ai donc commencé à multiplier les à-côtés : en plus de mon emploi salarié, je donnais des cours particuliers, je faisais des extras en boîte. Résultat : des semaines de 70 à 80 heures. Épuisée, je suis passée tout près du vrai burn-out.

C’est à ce moment-là, en 2019, que j’ai commencé à envisager le freelancing comme une solution. J’ai pris contact avec Hiway sur les conseils d’un collègue. J’ai rencontré Alexandre et Vincenzo dans un café à Issy-les-Moulineaux, et je m’en souviens comme si c’était hier ! Ce qui m’a marquée, c’est qu’ils m’ont vraiment rassurée sur ma légitimité, malgré mes deux petites années d’expérience.

La suite, vous la connaissez : Hiway m’a accompagnéepour créer mon entreprise, rédiger les statuts… Ils se chargent depuis de gérer en continu ma société afin de me décharger de toute la partie administrative. Je peux ainsi me consacrer à 100% à mon job et à mes projets. Ca fait maintenant 3 ans qu’ils m’accompagnent, et je recommande souvent leurs services.

Finalement, qu’est-ce que le freelancing a changé pour toi ?

Tout, ou presque. Avant, je vivais pour travailler et surtout, pour rembourser des dettes. En freelance, ma situation financière est devenue beaucoup plus confortable. Finis les jobs annexes, et j’ai même acheté deux appartements !

Bien sûr,** j’ai aussi énormément gagné en liberté**. J’ai pu me remettre au sport, qui est une réelle passion pour moi et m’apporte un vrai équilibre. J’ai aussi commencé de nouvelles activités. Et maintenant, je peux partir en week-end ou en voyage sur un coup de tête, ce qui était inenvisageable avant ! Le dernier projet en date : aller à Chicago à l’automne pour participer au marathon.

Pour finir, qu’est-ce que le projet autour d’Ironman représente pour toi ?

J’ai connu une période assez sombre en 2019 et je crois que je peux dire que le sport m’a sauvée. Quand je fais du triathlon, je m’exprime pleinement !

J’ai aussi appris que j’avais les moyens de faire autre chose que travailler, et d’être plus qu’une ingénieure. D’ailleurs, je suis en train d’entamer une reconversion professionnelle. Et je m’autorise quelques projets un peu fous, comme prendre un mois off pour cuisiner des cookies et les vendre sur les marchés de Noël…

Après tout, la devise d’Ironman est bien “Anything is possible” !

Suivez les aventures sportives d’Amélie sur Instagram : amelie_triathlon

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