Fatima - Portrait d’une freelance atypique | HIWAY
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Fatima - Portrait d’une freelance atypique

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Fatima - Portrait d’une freelance atypique

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Fatima a 36 ans et est cheffe de projet indépendante dans le domaine de la pharmacovigilance - un secteur qui a pour objet la gestion des notifications d’effets indésirables de médicaments. C’est donc un domaine qui surprend de prime abord, puisqu’il est plutôt rare d’y croiser des indépendants : “ça fait deux ans que je suis freelance” me dit-elle, avant de confirmer rapidement mes interrogations : “quand je me suis lancée, nous n’étions que deux ou trois en Île-de-France à avoir ce profil. Ce n’est effectivement pas monnaie courante ! Dans le domaine médical ou pharmaceutique, il y a beaucoup de prestations, ou de vente d’une expertise médicale ponctuelle, mais peu de freelancing.”

L’histoire commence par un trop plein...

Après ses études au Cnam, Fatima passe par différents grands laboratoires, et travaille pendant plusieurs années en tant que salariée, un statut dont elle reconnaît d’abord certains avantages : “je me suis mariée, j’ai eu mes deux enfants, et j’avais un bon poste avec une bonne mutuelle, un comité d’entreprise, et tout ce qui va avec.” ...et en admet ensuite quelques déconvenues : “je faisais aussi beaucoup d’heures, j’avais beaucoup de pression et de contraintes hiérarchiques” jusqu’à un trop-plein. Lorsqu’elle est enceinte de son deuxième enfant, elle se sent “pressée comme un citron” avec un repos limité et une charge de travail toujours amplifiée.

… jusqu’au déclic

C’est donc pendant ce fameux congé qu’un ami de Fatima lui met la puce à l’oreille : il lui explique qu’elle peut continuer de travailler dans le même secteur en indépendante pour gagner en qualité de vie personnelle et professionnelle. Il lui parle alors de Hiway, et décide d’organiser une rencontre avec l’équipe directement chez lui pour un déjeuner avec une dizaine de convives, dont Fatima. Intriguée, elle fait le déplacement et rencontre l’équipe “que je n’ai écoutée que d’une oreille d’abord, car je pensais que mon métier n’était pas compatible avec le freelancing. J’avais des arguments préconçus.”

Elle retourne donc à son poste en CDI à la fin de son congé maternité. “Et puis j’ai eu le déclic : je me suis rendu compte que je pouvais devenir indépendante parce que pendant mon absence, on avait fait appel à des prestataires qui n’ont pas toujours bien fait le travail. Je me suis dit que moi, j’étais capable de faire un travail de qualité en tant que consultante, alors pourquoi ne pas me lancer en freelance ? Ça m’a ouvert la porte du freelancing”

Prendre conscience de sa valeur

Je demande à Fatima combien de temps elle a attendu entre sa prise de conscience et son départ. Elle me répond que “si tu traînes trop, tu perds du temps. Je suis allée vite, comme pour tout. Dès que tu as la réponse à tes questions, tu te lances”. Elle prend alors rendez-vous avec Hiway pour discuter des procédures et se rassurer sur l’obtention de mission. Finalement, elle passe des premiers entretiens en tant que freelance avec des sociétés, et s’étonne de l’accueil qu’on lui réserve : “quand tu te présentes en tant que freelance, les entretiens sont très différents du salariat. J’étais agréablement surprise : on est dans la collaboration, sur ce qu’on peut faire ensemble, on a moins de questions pièges sur les défauts et les qualités. Les gens qui t'embauchent ne le font pas pour que tu sois de 9h à 18h au bureau. On t’engage pour tes compétences, pour du livrable, c’est dans la mentalité des gens”.

Au fur et à mesure de son cheminement professionnel, Fatima se rend également compte de la palette de compétences acquises. “Quand t’es salariée, tu prends beaucoup en compétences, et tu ne t’en rends même plus compte. Devenir freelance m’a permis de remettre tout ça à plat”.

Son objectif secret

“Je souhaitais travailler un peu moins” me confie Fatima lorsque l’on évoque les objectifs qu’elles s’étaient mis en tête avant de se lancer. Elle me dit qu’elle gardait cet objectif pour elle au départ, car assumer vouloir travailler moins n’était pas encore admis dans sa carrière de salariée. Au début, elle travaille 3 jours par semaine, puis change de contrat et travaille ensuite 4 jours par semaine. “J’ai parfois du mal à dire non sur la charge de travail, mais j’apprends de plus en plus à me délester” : car être freelance, c’est aussi apprendre à connaître ses limites, petit à petit.

Sa définition de l’épanouissement en freelance

“Maîtriser mon temps, et être flexible. Je gagne trois fois plus qu’avant. Ça nous a apporté un confort de vie, et mon mari peut alléger son emploi du temps. Je n’ai plus la charge mentale à me dire qu’il faut bosser comme une dingue pour finir les fins de mois. Aujourd’hui je peux partir au ski et emmener toute ma famille. Je suis dans un confort extrême ! Et j’ai plus de temps pour moi aussi. La flexibilité offerte en freelance permet de trouver un équilibre pro-perso.”

Son avis sur Hiway (👋 ) ?

Avec du recul, Fatima se dit que sans Hiway, elle n’aurait jamais pu se lancer. “J’étais dans une logique de couple, avec des enfants, un crédit sur le dos. J’avais une bonne situation, alors avais-je besoin d’eux ? Et puis j’ai vu leur concept : ils ont réussi à industrialiser un truc extraordinaire, il t’explique vraiment le pourquoi du comment. Je n’avais pas de bande passante pour gérer ma société, ils s’en occupent pour moi. Sans eux, je me serai convaincue que se lancer aurait été trop compliqué et que ça aurait pu marcher, certes, mais que ma boîte se serait cassée la figure, car je n’aurais pas eu ni le temps ni les compétences de la gérer.” Fatima apprécie également le partage d’expérience mis en place, qui lui permet de profiter des webinaires, et de conseils sur l’investissement et la négociation de son taux journalier par exemple. “C’est du bonus !”

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