Du freelancing au slow travel : Vireak nous raconte ! | HIWAY
flèche vers le bas
flèche vers le bas

Du freelancing au slow travel : Vireak nous raconte !

 • Témoignages • 
Partagez cet article:
facebook
twitter
linkedin

Du freelancing au slow travel : Vireak nous raconte !

 • Témoignages
facebook
twitter
linkedin

Le freelancing, c’est l’opportunité de s’épanouir professionnellement mais aussi de se lancer dans de beaux projets personnels.

Vireak et sa copine Sissi l’ont bien compris : il y a quelques mois, ils ont décidé de prendre la route pour traverser l’Europe et l’Asie. L’esprit ? Slow travel et low carbon ! Il nous raconte.

Hello Vireak ! Peux-tu te présenter en quelques mots ?

Hello Hiway ! Je m’appelle Vireak Chriv, j’ai 31 ans. J’ai grandi en région parisienne et je me suis installé à Lyon il y a quelques années avec ma copine, Sissi.

Au départ, je suis ingénieur en génie mécanique, mais j’ai été développeur pendant deux ans avant de devenir testeur web. Je me charge de contrôler la qualité des sites ou applis : je vérifie que les développeurs ont bien répondu au cahier des charges et que tout fonctionne correctement.

Sinon, dans la vie, je suis quelqu’un de très optimiste et je reste positif en toutes circonstances ! Je me passionne pour le sport, ce qui touche à la santé et à la nutrition, et pour les questions environnementales.

Tu es en ce moment sur la route : raconte-nous !

On est partis le 25 juin 2023 avec Sissi. Notre objectif : rejoindre Bali et s’y installer. Pour la suite, on verra : on garde pour l’instant toutes les portes ouvertes.

Quand on a décidé de partir pour Bali, on a vite abandonné l’idée de prendre l’avion. D’abord, bien sûr, pour des raisons éthiques et écologiques. Mais aussi parce que l’on s’est dit que c’était une occasion en or de voyager différemment, de découvrir de nouveaux pays et de prendre le temps de vivre autrement pendant quelques mois.

On privilégie donc les moyens de transport low carbon. Pour l’instant, le bilan carbone de notre voyage, c’est 69 % de train, 11 % de bus et 19 % d’avion.

À notre départ, on a commencé par traverser rapidement l’Europe en faisant escale à Vienne, Budapest, Belgrade et Sofia. C’est en Turquie que l’on a fait notre première vraie étape, avant de rejoindre la Géorgie (un coup de cœur !), puis le Kazakhstan, l’Ouzbékistan et la Chine. En ce moment, on est à Canton pour quelques semaines, auprès de la famille de Sissi.

On arrivera certainement à Bali autour du mois de mars, après neuf mois d’aventure. Mais si l’on devait choisir un mot pour définir notre voyage, ce serait la flexibilité. On verra donc où le vent nous mène !

Comment vous êtes-vous préparés pour ce voyage ?

Ma nature optimiste m’a poussé à ne pas organiser grand-chose à l’avance. On est partis avec seulement un billet de train et une réservation pour une nuit à Budapest. La suite, c’était de l’impro ! On avait besoin de très peu de visas, seule la Chine l’exige pour les ressortissants français.

Au fil du voyage, on utilise beaucoup l’appli A-contresens. Les voyageurs y partagent leurs conseils pour chaque destination et donnent un aperçu du budget à prévoir pour y passer quelques jours. Cela permet d’anticiper un peu, sans devoir pour autant tout planifier.

Finalement, le plus compliqué pour partir a été de vider notre maison (qu’on a achetée et rénovée nous-mêmes) pour pouvoir la mettre en location. Côté travail, les choses ont été beaucoup plus simples puisqu’on était tous les deux en freelance.

Justement, peux-tu nous raconter ce qui t’a poussé à te lancer en freelance ?

Au départ, c’est plutôt ma copine qui s’intéressait au freelancing. De mon côté, j’étais testeur web salarié, et j’avais l’idée reçue que ce mode d’activité était fait pour les développeurs, mais pas pour les testeurs.

Petit à petit, j’ai vu de plus en plus de personnes autour de moi passer le cap, et l’idée a fini par faire son chemin. J’ai commencé à regarder sur les plateformes si les entreprises cherchaient aussi de testeurs web indépendants: la réponse était oui ! J’ai donc décidé de me lancer.

C’est à ce moment-là que j’ai entendu parler d’Hiway. Je les ai rencontrés, et ils et elles m’ont accompagné dans tout le processus, de ma rupture conventionnelle à la recherche de missions, en passant par la création de ma société. Un gros coup de pouce ! Je suis officiellement passé en freelance début 2022 et j’ai mis mes activités en pause au moment du départ, en juin 2023.

En quoi le fait d’être en freelance t’a aidé à concrétiser ton projet de voyage ?

Le premier point, c’est bien sûr l’argent que j’ai pu mettre de côté. En passant en freelance, j’ai doublé mes revenus. Au départ, on pensait qu’il nous faudrait vendre la maison pour partir ; finalement, la conjoncture immobilière était trop mauvaise, et mes économies m’ont suffi.

Le deuxième aspect, c’est la flexibilité que cela m’apporte. En étant en freelance, c’était beaucoup plus facile de prévoir un départ à la dernière minute, au moment qui nous arrangeait. J’ai prévenu mes clients deux mois avant le départ, mais un mois aurait pu suffire. Si j’avais été salarié, les choses auraient été différentes.

Es-tu toujours en contact avec Hiway ?

Oui, j’ai pu garder contact avec l’équipe même si je suis en train de clôturer ma société. Et je sais qu’ils et elles seront là si j’ai besoin d’eux pour la suite !

Dès le départ, j’ai eu un bon feeling et apprécié le côté humain de la relation. Bien qu’ils soient basés à Paris, on a pu se rencontrer à Lyon “en vrai”. Leurs explications m’ont été très utiles pour créer puis gérer mon entreprise. D’ailleurs, j’ai recommandé à plusieurs personnes de se tourner vers Hiway.

Quels sont tes projets pour la suite ?

Difficile à dire pour l’instant ! Je profite de ce voyage pour m’offrir une petite phase de réflexion et voir comment développer une activité qui me ressemble. J’ai commencé un parcours de formation/coaching axé sur l’introspection et je réfléchis à quelques idées de business en ligne… We’ll see!

As-tu des conseils à donner aux personnes qui aimeraient faire un voyage comme le vôtre ?

Ne pas hésiter à se lancer ! Comme pour le freelancing, finalement. 🙂

C’est important d’oser se poser les questions qui font peur, pour ensuite chercher des réponses auprès des bonnes personnes, celles qui ont déjà vécu la même chose.

Dans cet esprit, on peut se tourner vers Hiway pour le freelancing, et vers la communauté des slow travellers d’Instagram pour le voyage.

D’ailleurs, on a nous-même lancé un compte Instagram pour partager nos conseils et inspirer les autres voyageurs. Vous pouvez suivre nos aventures ici ! Et me retrouver sur Linkedin par là.

Lire aussi: